mardi 31 mars 2009

Semaine du développement durable du 01 avril au 07 avril 2009

La Terre : Espèce en voie de disparition
Depuis quelques temps, notre planète va mal !
Imaginons que la terre soit une grande serre. Les différentes couches de gaz jouent le rôle des vitres. Une partie de la chaleur émise et réfléchie par la terre reste emprisonnée dans l'atmosphère par les gaz à effet de serre. Mais leur augmentation provoque un bouleversement climatique. Les beaux jours pendant lesquels nous pouvons admirer le paysage se font de plus en plus rare à cause de la pollution de l'air, des centrales électriques, des automobiles, qui rejettent du CO2.
Notre santé est en danger !
Ces fumées provoquent de l'asthme, des problèmes respiratoires et des infections pulmonaires telles que les bronchites. Malheureusement, certains pays comme les Etats-Unis contribuent à la dégradation de notre environnement.
Il faut dire que nous nous prenons pour les rois de la nature !
Nous rejetons nos déchets dans la nature sans prendre en compte leur temps de dégradation et les animaux en font leur nourriture pour leur plus grand malheur. Mais nous ne nous arrêtons pas là : en plus, nous polluons la Grande Bleue jusque dans ses océans et c'est la marée noire.
Nous pillons ses richesses de manière excessive : ah ! pêche intensive et ses chalutiers usines !
Et n'oublions pas notre complexe de supériorité
à l'origine de toutes ces guerres qui ont ravagé les endroits où elles ont eu lieu.
Mais la disparition des abeilles pourrait se révéler encore plus dramatique. En effet, elles permettent aux plantes de se développer, seulement nous les exterminons à cause de nos pesticides. En parlant d'abeilles, certaines vivent dans des forêts, n'est-ce pas ? seulement, ces temps-ci, elles ont tendance à disparaître ....ah ! les pyromanes !
Réagissons !
En 2050 déjà, 2 degrés de plus, en 2100, 6 degrés. Il faut croire que les habitants de la Planète Terre aiment de plus en plus la chaleur ! Pour bronzer ? Pas d'inquiétude ! Le nombre de plages augmente avec la fonte des glaciers et les déserts qui se multiplient.
De plus, l'espèce animale ne sera bientôt plus votre problème, puisque vous êtes menacés !
Avez-vous changé d'avis ? De toutes façons, nous sommes là pour ça !
Dans la vie de tous les jours, nous pouvons faire de petits gestes à grandes conséquences.
Le soir, quand vous quittez une pièce, éteignez les lumières et mettez vos appareils en mode veille... Recyclez vos déchets et investissez dans les énergies renouvelables....Vous construisez une maison : isolez-la bien, cela vous évitera une grosse facture de chauffage !
Monsieur et Madame Nature ont trois enfants. Pour aller à l'école, ceux-ci prennent les transports scolaires. Monsieur prend le train et madame son vélo. En voilà une famille qui tient à son espèce !
L'écologie, ça rapporte gros....pour la planète.
Maintenant à vous !

Emilie, Marème, Garance, Roxanne et Caroline - 3ème7

jeudi 26 mars 2009

Atelier d'écriture


L'arche de Noé


Bonjour, je suis une colombe. J’habite dans un grand chêne. Mon voisin s’appelle Noé. Il est très gentil. Mais depuis avant-hier je trouve qu’il a un comportement bizarre : Il coupe des arbres puis les transforme en planches. Un matin il vient me voir pour m’annoncer la terrible nouvelle. Dieu va envoyer sur la terre un déluge qui durera quarante jours et quarante nuits car les hommes sont devenus trop mauvais. Je trouve que Dieu a raison : les hommes sont mauvais. Le nombre de fois où ils m’ont fait du mal à moi, à mes petits, à mes œufs et à tant d’autres ! Heureusement Noé est en train de construire une immense arche pour nous sauver. Mais pour réaliser ce projet, il a besoin d’aide. Il demande donc à nous les animaux de rassembler un couple de chaque espèce animale qu’il fera monter dans l’arche.
Au bout d’une semaine de travail acharné, nous sommes prêts pour le grand départ. Nous avons fait à temps, car déjà le ciel se charge de lourds nuages noirs. J’entends le tonnerre gronder puis un éclair fend le ciel. Vite, tout le monde à bord dans le désordre ! Les animaux sont paniqués. Les éléphants piétinent tout le monde, les loups hurlent à la lune. Les oiseaux volent dans tous les sens… C’est la pagaille. Noé tente de calmer tout le monde; j’essaye de l’aider tant bien que mal. Mais il faut dire que ma petite taille ne m’aide pas beaucoup face aux éléphants ou aux fauves. Alors je plane au-dessus d’eux et je leur crie des ordres. Soudain un coup de tonnerre plus bruyant que les autres fige tous les animaux. Noé profite de la situation pour rassembler les animaux et les placer à leur place respective. A mon tour je m’envole pour me poser dans une petite niche construite spécialement pour moi et pour l’autre colombe ( mon mari.) La pluie commence à tomber. De toute ma vie je n’ai jamais vu pleuvoir comme ça ! Au bout d’une heure il y a déjà un mètre d’eau. Après quelques heures d’attente, l’arche flotte enfin. Les animaux sont enfin rassurés, mais moi j’ai plutôt un mauvais pressentiment, comme si tout n’allait pas bien se passer…


Cela fait maintenant deux jours que nous sommes sur le bateau et il pleut toujours autant. On ne voit même plus le sommet des montagnes. C’est très impressionnant. Nous ne souffrons pas de la faim car les cales sont remplies de légumes et de graines pour les herbivores ou les oiseaux, et de viandes séchées pour les carnivores. Nous en avons assez pour une cinquantaine de jours environ. J’ai dû me tromper pour mes mauvais pressentiments car à part qu’il ne s’arrête pas de pleuvoir tout va pour le mieux ! Mais les jours passent si lentement que même après une semaine dans l’arche j’ai l’impression d’y avoir passé un mois !
Voilà bien quatorze jours que nous sommes à bord. Ce soir là, la tempête bat son plein. On entend le bois de la coque gémir sous les assauts de la tempête. Je suis trempée mais je suis aussi très fatiguée. Alors j’essaie de m’endormir malgré tout blottie dans ma petite niche en bois. Il doit être aux alentours de minuit quand un abominable craquement déchire l’air. La coque vient de se fendre et l’eau rentre à flot dedans. Noé nous demande de nous calmer et de l’aider à boucher le trou. Les deux éléphants se mettent donc devant l’ouverture pour ralentir le flot pendant que les autres vont chercher les planches de secours. J’attrape dans mes pattes un petit tournevis : si je suis là autant servir à quelque chose ! Petit à petit le trou commence à rétrécir puis se ferme enfin. Nous avons réussi ! Nous poussons tous un soupir de soulagement. Nous avons eu tous très peur de couler et de nous noyer ! En plus, la tempête se calme un peu. C’est donc rassurés que nous allons nous recoucher. Le lendemain matin tout le monde parle de ce qui s’est passé la nuit. Chacun le raconte à sa manière. Nous ne nous ennuyons plus du tout. Je ris à entendre la vache raconter la catastrophe à sa manière ! Elle en rajoute tellement ! Mais le plaisir est de courte durée car nous nous rendons compte que l’eau qui est rentrée dans la coque a fait de terribles dégâts. Surtout au niveau de la nourriture : tout est inondé. Les graines et la viande séchée commencent déjà à pourrir et les légumes ne vont pas tarder eux aussi à pourrir. Toute la journée nous nous activons, soit à sortir la nourriture et la mettre au sec (nous ne pouvons pas la mettre sur le pont car il pleut sans arrêt), soit à vider l’eau des cales (nous aurions dû le faire hier mais nous étions trop fatigués.) Nous avons pu sauver une partie de la nourriture mais à partir de maintenant nous serons rationnés ! Malheureusement les jours passent toujours aussi lentement. Quinze jours plus tard environ, j’ai l’impression que le ciel se calme enfin un petit peu. Par contre, il pleut toujours. Normalement la pluie devrait s’arrêter dans dix jours.
Le grand jour arrive : à la fin du quarantième jour et de la quarantième nuit la pluie s’arrête enfin et le soleil pointe timidement le bout de son nez ! C’est la joie sur l’arche, tout le monde est sur le pont. On danse, on chante, on rit. Je m’envole pour aller rejoindre Noé qui est fou de joie. Je ne l’avais jamais vu comme ça. Il pleure et rit à la fois ! Le soir il vient me voir et me dit que si je suis d’accord, dans quelques jours il m’enverra en éclaireuse pour voir si le niveau d’eau a baissé. Je me porte volontaire. J’ai toujours rêvé de planer au-dessus des océans ! En ce qui concerne l’eau ici il n’en manque pas ! Donc six jours plus tard je m’envole pour explorer les océans à la recherche d’une terre sèche. Sept jours durant, je parcours la terre en tout sens mais aucune fois je ne vois apparaître un sol dur. Je reviens à l’arche exténuée. Je m’écroule aux pieds de Noé, pouvant à peine remuer les ailes. Il me prend doucement dans ses bras. Il m’emmène dans sa cabine et me dépose sur sa couchette sur laquelle je m’endors instantanément. Je me réveille deux jours plus tard dans ma niche. Je dévore toute la nourriture qui a été déposée à coté de moi. Mine de rien cela fait maintenant neuf jours que je n’avais presque rien mangé ! Je vais voir Noé et je lui raconte mon aventure. Je sais qu’il est très déçu. Mais il me félicite quand même pour mon courage et mon endurance. Je suis très fière, c’est la première fois que l’on me dit ça ! Mais après une semaine de repos bien mérité, je dois repartir. Tant mieux ! Je commençais à m’ennuyer. Je m’envole donc pour la deuxième fois. Cette fois-ci je décide de mettre toute mon énergie dans cette mission. Je fais le même trajet que la dernière fois mais j’approfondis mes recherches en allant dans des endroits que je n’avais pas encore explorés. C’est alors que je vois apparaître dans mon champ de vision, une immense plaine de terre sèche, qui regorge de vie. Vite je me pose pour vérifier que ce n’est pas un mirage ! Heureusement ce n’en est pas un ! Affamé, je vois un petit buisson recouvert de bais. J’en cueille une grappe avec mon bec puis, je me mets à penser aux autres dans le bateau. Il faut que j’aille chercher les autres. Je cueille donc un rameau d’olivier et vole à toute vitesse en direction de l’arche. Une fois arrivée, je vole prévenir Noé, qui lui préviens tous les animaux de l’arche. Ils se mettent tous au travail, ils rament tous en direction de la terre promise…


Enfin le fond de l’arche racle le sol dur ! Tous les animaux sautent de joie et de bonheur. Ils descendent tous en même temps de l’arche dans un brouhaha impressionnant. Moi je descends un peu après, perchée sur l’épaule de Noé. Nous venons de faire tous les deux en quelque sorte nos adieux à cette arche qui nous a tous sauvés la vie. Puis, tous ensemble nous allumons un grand feu de joie avec le bois de l’arche. Enfin nous oublions tous nos problèmes. C’est comme une nouvelle vie qui commence dans un nouvel endroit…

Anaïs / sixième 9

mercredi 25 mars 2009

Virginie Ollanier a séduit les élèves de 1èreL,ES



Comme annoncé lors de l'inauguration de l'exposition "Toutes ces vies qu'on abandonne" en janvier dernier, les élèves de M. Frénéat ont eu le privilège d'accueillir l'auteure du roman au CDI le 19 mars. Avec simplicité et humour, Virginie Ollagnier a évoqué son parcours, son métier, ses passions, son "amoureux", Olivier Jouvray, le dessinateur de bandes dessinées, et répondu aux questions des uns et des autres avec beaucoup de sincérité. Ce fut pour nous tous un moment chaleureux et très enrichissant.

Semaine de la presse à l'école


C'est la semaine de la presse. Beaucoup de journaux, magazines et revues sont à votre disposition. Profitez-en !

mercredi 18 mars 2009

Célia et Luce de 6ème 1, Laura, et Marie, de 4ème 2 ont lu pour vous



Amanda Chocolat

Auteur : Bernard Friot
Editeur: Milan PocheISBN: 978-2-7459-3172-6
39 p.


C'est l'histoire d'Amanda . Son Papa Nicolas Fève est artisan chocolatier , mais elle en a assez de ne manger que du chocolat, ce qui rend son père triste et en colère. Il y a trois fins différentes à l'histoire , c'est ce qui est intéressant , on peu choisir celle que l'on préfère.

Il y a une histoire drôle , quand Amanda s'échappe par la fenêtre de sa chambre pour rejoindre ses amis , le fils du boucher qui en a assez de ne manger que de la viande, le fils du crémier, la fille du traiteur chinois, les jumeaux du marchand de fruits, la fille de la pizzeria , ils ont tous le même problème, alors ils décident d'ouvrir un restaurant collectif , pour tout partager .

Il y a une histoire d'amour, quand un apprenti chocolatier sonne à la porte de l'atelier du papa d'Amanda, le papa est content d'avoir un jeune artisan très doué qui amène des clients. En grandissant Amanda et l'apprenti tombent amoureux , ils se marient et etc... c'est comme dans les films...

Il y a une histoire émouvante quand Amanda doit se débrouiller toute seule pour faire sa cuisine, car son papa refuse de l'aider , il est en colère. Amanda fini par devenir une bonne cuisinière et son papa va goûter ses plats en cachette . Un jour Amanda trouve une vieille recette dans un vieux cahier de son papa, c'est une recette de chocolat qu'il avait inventée pour sa fiancée Sophie , mais elle est morte après la naissance d'Amanda. Le papa goûte les chocolats et pleure car il est ému, puis il se réconcilie avec Amanda.

On a réellement bien aimé cette histoire, elle finit bien, et en plus elle donne envie de manger du chocolat !

mardi 17 mars 2009

C'est le printemps !

Le printemps

L’hiver finit, le printemps arrive et fleurit.
Une apparition de saison, une vision d’année nouvelle.
Une apparence séduisante, une vocation naturelle.
Un avantage souriant sous un appel printanier.

Des fleurs sauvages et jeunes, des prairies verdoyantes
et fraîches. Sauvegardant le charme, remplacent les
ventouses neigeuses de l’hiver, chatouillent
les agitations d’une nouvelle saison mûre et forte.

Un soleil infatigable et renforcé, un ciel pur
et sans tache nuageuse, les nuages dispersés et mouvementés.
Un calme de nature,
vivante, mais un calme serein et posé.


Une sensation forte, stimulant sa ferveur de son charme
intense. La sensation d’extase, d’euphorie et de passion
agitée. Plusieurs sensations dans la même excitation
sauvage.

Une envie de bonheur, une envie de chaleur, une envie
débordante de tendresse. L’envie
d’amour fou, de joie rayonnante,
d’excitation agitante.
Une envie d’un jour, un envie d’une nuit.


E.Boutry

mercredi 4 mars 2009

Le portail documentaire du CDI



Pour faciliter vos recherches, le CDI a mis en place un portail Netvibes
Ce portail vous permet de faire des recherches en ligne sur des sites internet sélectionnés par les professeurs documentalistes, et celà en fonction des disciplines et programmes
du Collège et du Lycée.


N'hésitez pas à le consulter en cliquant ici.

Bon surf !

mardi 3 mars 2009

Le Printemps des Poètes

Du 2 au 15 mars 2009, c'est le
Printemps des poètes
en France

Pour plus d'informations sur cette manifestation, allez à l'adresse suivante :

http://www.printempsdespoetes.com/

Et apportez nous vos poèmes...!

Les saisons
L'été est parti
L'automne est arrivé
Tous les arbres crient merci
Merci de leur beauté.
L'hiver approche à grands pas
Et vient geler mon petit doigt
Les maisons restent isolées
Sauf la fumée des cheminées.
Aujourd'hui c'est le printemps
Les petites fleurs apparaissent
Des jolis lacs brillants
Et des gentilles petites maîtresses.
Et maintenant place à l'été
Avec les piscines réchauffées
Puis cueillir des fleurs dans un pré
Sans se faire remarquer.
Victor Charvet


L'étoile
L'étoile, sous une obscurité nuptiale, blanchit,
Alors que le ciel s'endort sur les ténèbres.
Un monde blanc et luisant se réveille soudain.
Les ténèbres ne sont qu'affaiblies par une blancheur
Nouvelle. Une blancheur fantôme qui se laisse
Manier par la nuit obscure. Une luminosité qui
affaiblit un noir intense et qui augmente la
Précision du regard.
Le monde nouveau, le monde fantôme, le monde
Luisant se prolonge par la nuit endormie.
Une étoile brille, mais elle n'est point seule. Le monde
Entier, de blancheur brille. Un monde qui ne s'éteint
Que si la prolongation nuptiale décline.
Enfin, sous une lumière blanche et éblouissante, le noir
Décline dans une profonde somnolence. Alors, la lumière
Blanche elle-même commence à croître, longtemps et
Sûrement, sous une étincelle de lumière rouge dorée,
Apportée par l'aurore.
Mais les regards ne sont pas ouverts à la splendeur
De la nuit, où un monde s'illumine, tandis qu'un
Monde s'éteint brusquement.
Emmanuel Boutry





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